Il est éphémère le temps des cerises. Et ceux qui ne ratent en rien l'arrivée de ce fruit d'un rouge éclatant, ce sont bien ces oiseaux qui viennent les picorer malgré les "drelin drelin" les épouvantail, et autres moyens tout aussi bizarres avec lesquels on décore cet arbre fruitier incontournable pour un jardin gourmand. C'est pour éviter cela qu'il faut les ramasser très vite.

De paniers en paniers, de bocaux en bocaux, ou bien encore de clafoutis en clafoutis, la cerise est mangée à toutes les sauces. La manger sur l'arbre, permet de cracher trés délicatement le noyau ou au contraire, de faire un concours de lanceur de noyaux (si si cela existe). Sauf que bien installée autour d'une table, il peut en être autrement.

La solution est donc de les dénoyauter. Ouf ! la galère me direz-vous ! Ben non j'ai appris qu'il existait un procédé qui ne demande aucun investissement et qui est super efficace. Armez vous d'un trombone, et pour plus de facilité, piquez le dans un bouchon de liège et hop c'est parti. Regardez plutôt.

Je l'ai testé, ca marche hyper bien. Et au final,  des mini clafoutis pour ma collation. Ah je ne vous dis pas le mal que j'ai à les garder jusqu'à l'heure H. Oui oui ils sont tous pour moi, et le secret de ces clafoutis, c'est que plus vous en mangez, moins vous prenez de poids.  Pourquoi s'en priver ?  Allez Pfff les kilos !!!

Je vous souhaite une très bonne semaine

Ce week-end, ma grande princesse faisait son 1er gala de danse. Depuis plusieurs mois mamie avait réservé sa place. Pas question de zapper un tel évènement. Et je ne le regrette pas. Ce fut un grand moment de plaisir et d'émotion.

Le thème était Maurice Béjart. C'est dire que ce gala n'avait rien d'un classique gala de danse de fin d'année. Ballets romantiques, influences africaines, japonaises, byzantines, chinoises et syriennes y trouvaient leur place. Du romantisme au néoclassique, en passant par l'Oiseau de feu et le printemps, sans oublier le célèbre Boléro de Ravel, ce fut 3 heures de pur bonheur.

En raison du droit à l'image je ne me permets pas de vous faire profiter des vidéos faites lors du spectacle. C'est dommage.

Ce week-end fut aussi l'occasion de se promener dans la ville

et de découvrir les créations de jeunes et talentueux couturiers et couturières

Ces robes ont été confectionnées par les élèves des classes maternelles et primaires  et ont été installées dans les lieux publics de la ville, là au jardin des plantes.

Pour terminer je vous donne juste un aperçu des couleurs qui sont au programme prochainement.

Sur ce il est très tard, je vous abandonne, car demain le réveil n'oubliera pas de sonner.

Je peux dire que celui-là, il m'en a donné du fil à retordre. Maintes fois défait et refait, afin qu'il colle parfaitement aux désirs de sa propriétaire, maintes fois mis mes nerfs en pelote, sachant que je ne commencerais rien d'autre avant de l'avoir terminé, il a enfin la longueur désirée, la largeur désirée, le décolté désiré. Il était grand temps !

La photo est prise avant même d'avoir passé la cordelière entre les mailles. Une fois le travail terminé, voici le résultat.

Pour me changer un peu les idées, je me suis fait un petit plaisir en reprenant la MAC.

L'été, les vacances, les valises. Tout cela m'a fait pensé qu'à cette époque de l'année, nous avions toutes besoin de trousses, plus ou moins grandes afin de loger, tout le petit attirail qui nous accompagne.  Une première série a vu le jour, d'autres ne sauraient tarder.

Pour davantage de détails c'est ici

A bientôt pour de nouveaux projets

et MERCI pour vos visites

Je n'ai pas par habitude d'ouvrir ma porte à n'importe qui,  surtout le dimanche soir à 21 heures.  Depuis plus d'un quart d'heure on miaule devant ma porte, je dirai même on pleure et on crie. J'ouvre ou j'ouvre pas. Non je n'ouvre pas si c'est le chat de mes voisins que je connais ils vont bien l'entendre et l'appeler.

Je jette un oeil par la fenêtre, leur voiture est là, pas d'inquiétude. Et miaule que je te miaule, gratte à la porte que je te gratte. Bon sang de bonsoir, vont-ils l'entendre et l'appeler ?  Si peu que la télé marche, le monsieur étant à moitié sourd, je crains qu'il miaule et gratte encore longtemps.

Qu'est-ce que je fais, j'ouvre ou j'ouvre pas ? Un quart d'heure de miaulements ca suffit. Peut être est-il blessé. J'entrebaille ma porte, histoire de zieuter, et là, surgit un chat inconnu jusqu'à ce jour, que je n'avais même jamais aperçu depuis des années que je réside ici. Catastrophe !  vite fermons toutes les portes, ouf ! ca y est !J'ai le temps de prendre une photo.

L'air hagard, pas du tout catholique, je ne vais pas me hasarder à l'attraper.  Mon balai à la main, la porte de sortie grande ouverte, je tente de le faire sortir. Que Nenni !!  Le voilà tapi  sous les meubles, puis sous la table de l'ordinateur, enchevétré au milieu de tous les fils, impossible de le faire reculer.  Me voilà bien.

Je tente de crier assez fort, pensant que quelqu'un me viendrait en aide. Superbe idée ! Ma voisine du dessous accompagnée de  sa fille qui sortait de la douche arrivent en trombe et appellent  leur minette par je ne sais quel nom d'oiseau ou plutôt de chat.   Il était temps ! Mais le chat tapi au milieu des fils ne bronche pas. Il est à vous ? Oui, vous ne saviez pas que nous avions un chat ? Ben non, mais maintenant je sais !

Mais le clou de l'histoire, c'est que pris de panique, la minette a pissé partout. Ah ! je ne vous dis pas l'odeur !   Excusez moi Madame, je suis désolée,  c'est une chatte qui est très propre d'ordinaire, je suis vraiment désolée, je suis confuse. Bon d'accord, mais j'aimerai bien que vous l'attrapiez. Précautionneusement, elle pris la bête, sans trop savoir d'ailleurs si elle  allait se rebiffer ou pas et retourna chez elle, tandis que Mamynette qui adore faire le ménage à la tombée de la nuit, pris son balai, l'eau de javel et allons-y, un peu d'exercice pour terminer la soirée.

Ce qui est sûr c'est que ces bébêtes à quatre pattes pourront miauler longtemps derrière ma porte, je n'ouvrirai plus.

Mais tout compte fait, si je n'avais pas eu cette visite, vous n'auriez pas su que j'existais encore.